La Circulation de l’information avec l’exemple de Wikileaks

Les medias sociaux permettent non seulement de publier une information qui serait autrefois passée à la trappe des médias traditionnels mais ils permettent également de publier du contenu inédit, privé, classé top secret, que les medias traditionnels n’ont pas le droit de publier à cause de couts financiers magistraux qu’engendrerai les procès pour atteinte à la vie privé ou violation du secrèt défense.

Je viens de regarder le site de Wikileaks, Ils annoncent la publication prochaine de documents (échange d’emails personnels, contrats de vente) syriens, 2 millions d’emails d’hommes politiques, d’industriels syriens. Ils vont publier des documents qui vont, selon leurs dires, embarrasser le gouvernement syrien mais également une quantité d’autres pays tels que la France, l’Egypte, L’Italie, le Liban. Le fondateur annonce que ces documents vont nous permettre de comprendre la face cachée de ce conflit : « they also reveal how the West and Western companies say one thing and do another ».

Ils reconnaissent néanmoins, que compte tenu de la quantité d’information, ils ne pourront pas vérifier toute l’information « it is not possible to verify every single email ».

Je me questionne sur ce genre de pratique, d’un côté je trouve cela bien que les medias sociaux nous permettent d’avoir accès à des documents non publiés car ils nous permettent de mieux comprendre un conflit mais d’un autre côté, je pense qu’il faut rester vigilent avec des informations sorties de leurs contexte et non vérifiées par ceux qui les publient. Les medias sociaux sont devenues grâce à des initiatives telles que Wikileaks, un véritable contrepouvoir qui peut faire vraiment changer les choses, mais je me demande qui cela sert-il vraiment.

Article à l’origine de ce billet : Wikileaks: Syria Files

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